180 713 se laisse tomber contre le dossier de son fauteuil à la tapisserie en cuir déchirée, il était fier de son travail. Tout était fait. Tout dans les moindres détails. Les gros dossiers, les petits dossiers, les sous dossiers, les catégories et les sous catégories... Tout était terminé, il a pensé à tout et il a tout fait! Il ne lui reste plus qu'a appuyer sur la touche « enter »... Il se rapproche de son clavier, dernier coup d’œil sur l'écran et il appuie sur « enter »... De nouveau il se laisse tomber contre le dossier de son fauteuil en regarder l’écran avec une très grande satisfaction.
Sur le écran de son ordinateur les chiffres et les lettres correspondants aux fichiers, dossiers, catégories et sous catégories défilent à une vitesse telle que l'on ne pourrait les lire... l'ordinateur indique le temps restant pour terminer la tache « moins d'une heure »... … 180 713 se dit que il a du temps pour faire une petite pause... a peine ferme-t-il les yeux qu'il se déconnecte de tout…
Lorsque il ouvre ses yeux l'ordinateur indiquer que le réseau mondial est disponible a 98 % et que tous les fichiers ont été transférés avec succès !
Une fois debout il s'approche de la seule fenêtre du bureau où il travaille. Il tourne la commande des volets pour qu’ils s'ouvrent... Il se disait que a l'heure qu’il est « la vie » devrait
reprendre. Effectivement...

De la fenêtre, 180 713 eu une vue sur l'une des grandes zones industrielle d'armement, les lumières dans les bâtiment s'allumaient à nouveau. Les routes étaient éclairées. Il voyait même quelques robots circuler entre les bâtiment. La centrale nucléaire qui se trouvait loin sur l'horizon et qui alimentait toute la zone en électricité avait lâchée ses premières vapeurs. Grand nuage de vapeur d'eaux se déplaçant dans un ciel rouge… Le soleil se couchait comme d'habitude depuis des millions d'années.
180 713 était heureux. Son plan commençait à fonctionner. L'usine d'armement la plus proche de lui se mit en route. Cela voulais dire que les autres ne tarderaient pas ( en effet l'ordinateur indiquait: 98% du réseau disponible. En d'autres termes: 98% des usines d'armement marchaient à plein régime ! ) .
Il était temps que 180 713 termine son travail… il était épuisé, cela lui avait pris plusieurs années pour finir sa tâche. Mais c'était son devoir. Et il était arrivé au bout.
- Désormais je peux vraiment me reposer... et je verrais peut être encore le fruit de mon travail...
180 713 se laissa tomber contre le dossier de son fauteuil a la tapisserie en cuir déchirée, il ferma ses yeux et se déconnecta.
*
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...
-
Prêt !
-
Feux !
-
Feux ! Répétez caporal !
Et les obus « G » partirent avec une grande salve d'un millier de canons 150mm.
Mon chronomètre interne commença à décompter les temps qu'il restait jusqu'au moment ou les obus « G » toucherons leur cible (au sol )...
-9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
On ne pouvais voir les obus « G » exploser, la portée des canons 150mm à poussée électromagnétique était trop importante, les obus tombaient trop loin pour les voir exploser et les bruit arrivaient avec quelques secondes de retard ( a cause de la vitesse du son, pas assez rapide par rapport a la vitesse du « fait », de l' « instant » ).
Le caporal regarda sa tablette de tir…
-
Tout les obus « G » ont explosés mon Lieutenant...
-
OK, Chargez les obus « E ».
-
Chargez les obus « E » ! Répéta machinalement le Caporal.
-
Prêt mon Lieutenant !
-
Feux !
-
Feux ! Répéta machinalement le Caporal...
Les obus « E » sont partis… Le décompte... c'est bon, ils sont tombés...
-
Tout les obus « E » ont explosés, mon Lieutenant !
-
OK … Envoyer le message à l’unité aérienne pour dire que de notre côté c'est : « OK »...
-
Oui mon Lieutenant.
Après quelques minutes l'on voyait des drones d’unité aériennes charger des bombes « H » passer au dessus de nos positions en direction de nos tir, puis l'explosion retentit. J'entendis le compte rendu des drones dans le réseau de communication interne : « toutes les bombes « H » ont explosées » ...
- Caporal ! C'est OK ! ont recule !
Le Caporal donnait ses ordres, il faisait cela depuis déjà quelques jours...Depuis quelques jours on faisait tous la même chose, toute l'armée de terre et toutes les troupes aériennes du monde entier faisaient la même chose... Ont tire d'abord les obus «G », puis les obus « E », puis on attends la reconnaissance par des drones et le bombardement avec les bombes « H » et puis on reculer d'une distance de tire (16000 mètres)… ce qui voulait dire qu'à la prochaine position on tirait ( à quelques millimètre près (à cause du vent et de la rotation terrestre... ) sur notre position précédente... Le changement des positions n'était pas trop compliquée, le terrain était désertique, sableux, sans végétation ( depuis le dernier conflit nucléaire il ne restait plus beaucoup d'obstacles...)
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...
-
Prêt !
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Feux !
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Feux ! Répétez caporal !
Et les obus « G » partirent avec une grande salve d'un millier de canons 150mm.
Mon chronomètre interne commença à décompter les temps qu'il restait jusqu'au moment ou les obus « G » toucherons leur cible (au sol )...
-9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
On ne pouvais voir les obus « G » exploser, la portée des canons 150mm à poussée électromagnétique était trop importante, les obus tombaient trop loin pour les voir exploser et les bruit arrivaient avec quelques secondes de retard ( a cause de la vitesse du son, pas assez rapide par rapport a la vitesse du « fait », de l' « instant » ).
Le caporal regarda sa tablette de tir…
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Tout les obus « G » ont explosés mon Lieutenant...
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OK, Chargez les obus « E ».
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Chargez les obus « E » !Répéta machinalement le Caporal.
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Prêt mon Lieutenant !
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Feux !
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Feux ! Répéta machinalement le Caporal...
Les obus « E » sont partis… Le décompte... c'est bon, ils sont tombés...
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Tout les obus « E » ont explosés, mon Lieutenant !
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OK … Envoyer le message à l’unité aérienne pour dire que de notre côté c'est : « OK »...
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Oui mon Lieutenant.
Après quelques minutes l'on voyait des drones d’unité aériennes charger des bombes « H » passer au dessus de nos positions en direction de nos tir, puis l'explosion retentit. J'entendis le compte rendu des drones dans le réseau de communication interne : « toutes les bombes « H » ont explosées » ...
- Caporal ! C'est OK ! ont recule !
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...
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Prêt !
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Feux !
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Feux ! Répétez caporal !
Et les obus « G » partirent avec une grande salve d'un millier de canons 150mm.
Mon chronomètre interne commença à décompter les temps qu'il restait jusqu'au moment ou les obus « G » toucherons leur cible (au sol )...
-9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
On ne pouvais voir les obus « G » exploser, la portée des canons 150mm à poussée électromagnétique était trop importante, les obus tombaient trop loin pour les voir exploser et les bruit arrivaient avec quelques secondes de retard ( a cause de la vitesse du son, pas assez rapide par rapport a la vitesse du « fait », de l' « instant » ).
Le caporal regarda sa tablette de tir…
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Tout les obus « G » ont explosés mon Lieutenant...
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OK , Chargez les obus « E ».
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Chargez les obus « E » !Répéta machinalement le Caporal.
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Prêt mon Lieutenant !
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Feux !
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Feux ! Répéta machinalement le Caporal...
Les obus « E » sont partis… Le décompte... c'est bon, ils sont tombés...
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Tout les obus « E » ont explosés, mon Lieutenant !
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OK … Envoyer le message à l’unité aérienne pour dire que de notre côté c'est : « OK »...
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Oui mon Lieutenant.
Après quelques minutes l'on voyait des drones d’unité aériennes charger des bombes « H » passer au dessus de nos positions en direction de nos tir, puis l'explosion retentit...
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...
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Prêt !
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Feux !
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Feux ! Répétez caporal !
Et les obus « G » partirent avec une grande salve d'un millier de canons 150mm.
Mon chronomètre interne commença à décompter les temps qu'il restait jusqu'au moment ou les obus « G » toucherons leur cible (au sol )...
-9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
On ne pouvais voir les obus « G » exploser, la portée des canons 150mm à poussée électromagnétique était trop importante, les obus tombaient trop loin pour les voir exploser et les bruit arrivaient avec quelques secondes de retard ( a cause de la vitesse du son, pas assez rapide par rapport a la vitesse du « fait », de l' « instant » ).
Le caporal regarda sa tablette de tir…
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...
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Prêt !
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Feux !
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Feux ! Répétez caporal !
Et les obus « G » partirent avec une grande salve d'un millier de canons 150mm.
Mon chronomètre interne commença à décompter les temps qu'il restait jusqu'au moment ou les obus « G » toucherons leur cible (au sol )...
-9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
On ne pouvais voir les obus « G » exploser, la portée des canons 150mm à poussée électromagnétique était trop importante, les obus tombaient trop loin pour les voir exploser et les bruit arrivaient avec quelques secondes de retard ( a cause de la vitesse du son, pas assez rapide par rapport a la vitesse du « fait », de l' « instant » ).
Le caporal regarda sa tablette de tir…
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...
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Prêt !
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Feux !
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Feux ! Répétez caporal !
Et les obus « G » partirent avec une grande salve d'un millier de canons 150mm.
Mon chronomètre interne commença à décompter les temps qu'il restait jusqu'au moment ou les obus « G » toucherons leur cible (au sol )...
-9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
On ne pouvais voir les obus « G » exploser...
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...
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Prêt !
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Feux !
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Feux ! Répétez caporal !
Et les obus « G » partirent avec une grande salve d'un millier de canons…
...ça y est, les canons sont en place, derniers réglages...

La guerre c'est la guerre ! C'est notre boulot et on le fait bien. De mon unité d'origine il ne restait plus grand chose... D'un millier de canons, il n'y en avait plus qu'une vingtaine... Le Caporal était « KO » et l'on a dû le remplacer par un « Première classe »… Quelque fois il nous manquait des obus « G » ou « E » mais on tirait quand même ce que l'on avait ( en espérant bien faire, suivant le septième ordre du grand ordre général « Ta mission est sacrée, tu l’exécutera jusqu'au bout à tout prix, tu n'abandonnera jamais ni tes armes, ni tes blessés, ni tes morts ! ( d’ailleurs le Caporal était toujours avec nous dans sa « HS BOX »)).
Toutes les forces militaires de la terre du nord et du sud se sont retrouvées dos a dos. Normal, à force de reculer du nord vers le sud et du sud vers le nord ont se retrouve à un moment dos a dos, quoi de plus logique (indication programme).
Une fois le contact établie et compte rendu envoyé au « QG » les nouveaux ordres sont arrivés ( à la vitesse du neutrons dans un circuit électronique). Les voici, forts, clairs et précis :
1 - Destruction des toutes les armes opérationnelles.
2 - Démobilisation des toutes les unités encore en service.
3 - Protection des éventuels humains survivants. ( « éventuels humains survivants »? c'est un logarithme que j'ai eu le plus grand mal à comprendre ? mais je ne me pose pas de questions, « La mission est sacrée et je l'exécute jusque bout à tout prix ( la réponses à mes question viendrons au moment venu, ou elle ne viendrons pas...))
La guerre est finie, on ne sait pas si l'on a gagné ou si l'on a perdu. Mais après tout, on s'en fout, nous sommes des soldat, nous sommes là pour exécuter les ordres. C’est notre boulot, nous ne sommes pas là pour se poser des questions à la con. Nous avons donc détruit toutes les armes opérationnelles qui nous restaient, puis nous nous disperserons à la recherche d'« éventuels humains survivants » (...!?...)
*
Cela va faire au moins 100 ans que je suis a la recherche d'« éventuels humains survivant » et que je n'ai encore rien trouvé qui puisse de près ou de loin ressembler à un éventuel humain survivant En fait je n'ai jamais compris ce logarithme… Je suis vieux, usé et épuisé... De plus, après notre campagne de tirs, les déplacement sont devenus de plus en plus difficiles à cause de la végétation, avant c'était simple il n'y avait que du sable, maintenant ici il faut lutter pour se déplacer il y a des branches qui vous barricadent la route et puis des lianes qui s'accrochent à vous et qui vous empêchent d'avancer. Je n'en peux plus peux plus.
Le Lieutenant s'est allongé par terre, il n'aime pas l'herbe, elle est trop humide pour lui, il préfère le sable sec, brûlé par le soleil. Mais là où il se trouvait il n'y avait pas le choix. Il regardait le ciel qui depuis le temps était passé du rouge vif au bleu turquoise avec même quelques nuages ici et là. Même si il n'aimait pas ce milieu il trouvait un certain logarithme de beauté dans tout ceci. Il remarquait que depuis la première campagne de tir où les seul bruit sur terre étaient ceux des usines d’armement, des claquements des machines, du matériel, des tirs et des explosions, de nouveaux bruits étaient apparus : le bruit du vent dans les arbres, le bruit des insectes de plus en plus nombreux, des oiseaux, le bruit de la pluie et des petits ruisseaux… C'est alors qu'il entendit un bruit qu'il n'avait alors encore jamais entendu.
C'est quoi ce bordel ? Qu'est ce que c'est que ce bruit de « papapa » et de « r gggg rrr ddrr iiiiiii » qu'est ce que c'est que ce truc qui bouge comme s'il était fait d’eau et qui parle comme les oiseaux ?!
-
Oui ma fille c'est un « ROBOT », un Lieutenant, c'est pour ça qu'il est rouge, il doit être complètement déchargé, depuis qu'il y a des nuages les robots n'arrivent plus à se recharger correctement…
C’est donc à cause des nuages que je n'ai plus de forces ! Les nuages ils sont de plus en plus nombreux je tiendrais pas jusqu'à demain. Le Lieutenant a essayé de se lever pour mieux voir cette « espèce » qui lui était encore inconnue, mais ses membres ne répondaient plus. En puisant dans le dernier coup d’énergie il avait décompressé un logarithme qui lui avait fait du bien, il disait
« mission accomplie – travail terminé – déconnexion ».
-
Papa regarde il ne bouge plus, il doit être mort... 
-
Le robot ne meurent pas, ils cessent de fonctionner ce n'est pas la mort. Pour eux c'est juste un « néant ».
-
Moi je les trouve sympathiques...
-
Tu as raison, après tout ce qu'ils ont fait nous leur devons une grande reconnaissance... Mais vite il nous faut trouver un abri, la pluie ne vas pas tarder à tomber, il faut que l'on se cache quelque part, il y a des ruines derrière les arbres... viens on vas voir si l'on peux passer la nuit là bas bien au sec !

Le père et sa fille entrèrent dans un grand bâtiment haut de plusieurs étages. Ils montèrent les escaliers en cherchant une pièce sans fenêtre cassée et si possible avec une porte pour pouvoir s'enfermer et dormir tranquillement. Au bout de quelques minutes ils s'arrêtèrent devant une porte fermée et qui avait plutôt bien résisté à l’épreuve du temps. Une fois dedans, le père ferma la porte derrière eux. Le dernier rayons de soleil éclaira une pièce presque intacte, un bureau, un lit, un fauteuil, une petite cuisine, on aurait dit que le temps s'était arrêté depuis plusieurs décennies. Le Père retourna le matelas sur le lit et commença à défaire deux sacs à dos pour sortir les couvertures et quelque chose à manger...
-
Papa regarde il y a un cadre avec les dés ! On a vu le même une fois chez le vieux sage ! Tu t'en souviens ?
-
Oui, ça s'appelle un « clavier » mais ça ne servait à rien à part faire des petite bruit, des « clic » et des « clac »...
-
C' est vrai ?
Et la fille appuya sur un des dés au hasard certainement juste pour entendre un petit « clic » et« clac »... au même instant l'écran d'à côté s'était allumé.
-
Papa ! Papa ! Regarde ! ça brille, il y a des choses qui clignotent ! c'est jolie ! Regarde papa !Papa tu sais lire ! Dit moi se qu'est écrit !
-
Tu sais bien que je ne suis pas un champion de la lecture je sais mieux compter que lire...
Il s'approcha de l'écran et avec son doigt suivait les rangées de lettres en laissant un trait sans poussière en bas de chaque ligne, il marmottait quelque chose et sa fille voyait qu'il faisait un effort pour déchiffrer toutes ces lettres...
-
Il y a des mot que je ne connais pas, je ne sais pas ce qu'ils signifient.
-
Mais dit moi ! Dit moi ! Juste comme ça , je veux entendre !
-
« Mission Prioritaire – sauvegarde et protection de toute espèce vivante, transmettre a toute unité cybernetique ». Tu vois je sais lire même si je ne comprend rien de ce qui est écrit, à part « tout » et « vivant ». Ensuite il est écrit :
« obus G » = graines, semences divers.
« obus E » = engrais naturels ou synthétiques.
« agent H » = H2O », tu vois ça n'as aucun sens je ne comprend rien ! Ça dois être une formule magique pour faire quelque chose, mais quoi ???...
- Papa tu est trop fort !! il faut que tu m'apprenne un jour à lire !
-
Ça sers a rien de savoir lire, il n'y a plus grand chose a lire et même si l'ont arrivait à lire on ne comprendrais rien, tout ceux qui ont écrit toutes ces choses là sont morts il y a très longtemps, pendant la grand guerre et ils n'ont jamais dit aux autres gens ce que ça voulais dire. Compter c'est plus important, ça peux servir !
Après cet énorme effort cérébral l'homme voulez s’asseoir, il tourna le fauteuil qui jusque maintenant était tourné vers la fenêtre, il y découvrit un squelette humain en vrac...
-
C'est certainement lui qui a écrit tout ça, mais vas comprendre ce qu'il voulait dire, à qui, et pourquoi...?
Le père saisit un petit objet brillant qui pendait au cou du squelette, il frotta un peut contre la manche de son blouson pour mieux observer le jolie objet.
-
C'était peut être un sage de son vivant pour avoir une telle décoration, c'était peut être son travail d'écrire tout ces mots et ces lettres qui brillent sur les écrans.
-
Je ne sais pas... ? Sur la plaque il y a juste les chiffres 180 713... _large.jpg)
Querrien 00,10 du 29,12,2015
Pawel Warunek